The Worm établit un dialogue graphique avec l'architecture du bâtiment. L'oeuvre tire parti de la hauteur et de la profondeur des porches, en amenant une perturbation de la lecture de l’espace.
Elle interroge le regard : d'abord on ne perçoit que des aplats de peinture déstructurés... Elle questionne le rapport du corps à l’espace, le dessin ne prend son sens que d’un point de vue précis. À vous de le trouver!
Nous explorons le principe de l’anamorphose dans un jeu avec les poteaux, entremêlés d'une forme abstraite qui reprend leurs obliques et verticales.
Une fois recomposé, le dessin semble passer devant ou derrière la structure en forçant toute logique spatiale. Il fausse la perception des profondeurs et provoque un effet d’aplatissement du volume.
Cette oeuvre, tournée vers l’espace public, vient renforcer le rapport du bâtiment à son environnement et intégre l’art à la ville de manière ludique et participative.

The Worm establishes a graphic dialogue with the architecture of the building, The artwork takes advantage of the height and depth of the porches, causing a disruption of the reading of the space.
It interrogates the eye: at first one perceives only flat destructurized paint surfaces ... It questions the relationship between body and space, the drawing only makes sens from a precise point of view. Up to you to find it!
We explore the principle of anamorphosis in a game with the foreground formed by the posts, intertwined with an abstract form that plays with their obliques and verticals.
Once recomposed, the design seems to slide in front of or behind the structure by forcing all spatial logic. It distorts the perception of depths and causes a flattening effect of the volume.
This artwork, turned towards public space, reinforces the relation of the building to its environment and integrates art to the city in a playful and participative way.